Vue d’ensemble de l’installation électronique volante. Du haut gauche au bas droit : le connecteur provisoire de cantons, les 3 cartes 4 cantons, la carte générale (en rouge), un boîtier de commande, toutes les alimentations.

Toutes les alimentations nécessaires au fonctionnement de l’électronique et des trains sont réunies sur une plaque. Ce sont toutes des alimentation à découpage achetées chez Conrad pour la plupart et chez Farnell element pour la 18 V qui est en bas à gauche. Cette dernière délivre le courant de traction et peut donner jusqu’à 5,5 A. Une alimentation est manquante en bas à droite : elle est tombée en panne après quelques allumages.

On aperçoit ici trois cartes 4 cantons ainsi que le connecteur provisoire qui permet de faire rouler les trains sans les cartes. La nappe de fils du bus CAN passe de carte en carte.

Les trois cartes 4 cantons avec leur relais sont visibles en haut. Dans le coin bas droit, l’un des boîtiers de commande pour commander les trains.

Ici sont visibles deux cartes 4 cantons ainsi que la carte générale avec la mezzanine en bas à droite en rouge. On voit aussi le bouchon avec des résistances au bout de la nappe de fils du bus CAN.

Des essais de ralentis extrêmes sont réalisés avec succès avec différents matériels. Ici la 231E de Roco.

La 231E de Roco entre en gare avec un ralenti remarquable de réalisme grâce à l’asservissement de vitesse. Quelque soit les variations d’efforts (frottements, courbes, pente) la locomotive maintient sa vitesse. C’est la vitesse imposée (VI) à présent disponible avec les motrices modernes de la SNCF !