La 231 G 558 fonctionne au charbon. Elle utilisait deux sortes de charbon. On aperçoit au sommet du charbon en vrac concassé et autour bien rangé des briquettes. Ces dernières fournissaient plus d’énergie lorsque cela s’avérait nécessaire.

Pour visiter la cabine de conduite il faut faire la queue sur le quai.

L’attelage traditionnel à choquelle entre le tender et la rame de vieilles voitures. Ces attelages sont toujours d’actualité pour les rames tractées. Ils sont remplacé par des attelages plus modernes sur les rames automotrices (TER, TGV…)

Nous voici enfin dans la cabine de conduite ! Il n’y fait pas froid car la chausière est en chauffe douce en prévision de la marche de demain.

La porte du foyer est ici fermée.

Côté tender, le charbon en pierres qu’il fallait enfourner à la pelle.

Le foyer ouvert un bref instant irradie violemment nos visages.

Le manomètre indique une pression de 12 bar. La chaudière est timbrée à 16 bars.

Départ de tuyauterie en cuivre pour le graissage de certaines pièces. Ce qui n’excluait pas un contrôle très fréquent du graissages des articulations de bielles et autres pièces mobiles afin de préserver le matériel.

En se retournant, sur le devant du tender, quelques accessoires de travail.

Dans le fond à gauche on distingue en laiton poli l’indicateur de vitesse Flaman qui consignait sur une bande de papier la vitesses à chaque instant ainsi que des informations aux passages des signaux. Cette Pacific pouvait rouler à 120 km/h.

La rame de voyageurs elle aussi est de l’époque. Elle va emmener 280 voyageurs demain au Croisic.

Voiture avec compartiment fourgon.

Dernier regard avant de quitter la gare.

Et n’oublions pas que cette vénérable machine est classée Monument historique depuis 1984.